EREVAN, 7 JUILLET, ARMENPRESS. Ruben Vardanyan, l’initiateur du mouvement « Haykakan Apaga » (Avenir arménien), co-fondateur de l’organisation humanitaire « Aurora », est convaincu que «  Haykakan Apaga » est une initiative, grâce à laquelle les Arméniens auront l’opportunité de travailler ensemble, de discuter des moyens de de nouvelles solutions et mettre en œuvre des changements.

La meilleure façon d’avancer est de s’unir. Ruben Vardanyan a présenté les objectifs du mouvement « Avenir arménien ». Il a exprimé un tel point de vue lors de la table ronde organisée dans le cadre du forum « Avenir arménien ».
Il a affirmé qu’ils essaient de montrer avec l’initiative « Avenir arménien » que la nation arménienne, qui non seulement vit en Arménie, mais est dispersée dans le monde entier, peut vraiment s’unir et trouver des solutions unies et efficaces.
"C’est vraiment important que nous puissions jouer sur nos points forts. Nous avons des gens brillants vivant en Artsakh, en Arménie et dans la diaspora qui devraient sentir qu’ensemble, nous pouvons changer notre avenir. Aujourd’hui, le seul moyen de réussir dans le monde entier est le modèle de travail ensemble, de coopération, et nous devons réaliser que la manière la plus correcte d’avancer est la coopération avec tous les cercles » a déclaré Ruben Vardanyan.

Selon lui, la plupart des Arméniens ont l’habitude de vivre dans le passé, se souvenant des moments tristes du passé. Selon R. Vardanyan, tout le monde devrait seulement être optimiste quant à l’avenir et comprendre qu’aujourd’hui la seule option correcte n’est pas de regarder en arrière, mais de regarder vers l’avant.
Se référant à la responsabilité historique du peuple arménien et aux défis actuels, Ruben Vardanyan a dégagé trois réflexions. « L’éducation et la science occupent depuis des années une place importante pour la nation arménienne. Pour moi aujourd’hui, maintenir cela est l’une des questions les plus importantes. L’un de nos objectifs est que l’Arménien instruit devienne un exemple et un modèle pour tous. Le second est l’Artsakh, qui est une ligne rouge pour moi. Nous devons sortir du statut de victime, nous sommes une nation victorieuse, il faut que ce soit dans notre sang et nos gènes que nous puissions et devons gagner. Troisièmement, nous devons clairement réaliser que le 21^e siècle est notre siècle, et nous devons utiliser les opportunités qu’il offre pour le développement et le meilleur avenir de l’Arménie, car nous sommes responsables de nos garçons tombés au combat, de nos enfants et de nos générations futures » a-t-il ajouté.