Le ministre de la Justice enregistre un progrès sensible dans le domaine de la protection des droits de l’homme
EREVAN, LE 21 MARS, ARMENPRESS: Artak Zeynalian, ministre de la Justice considère que les deux élections transparentes qui jouissaient de la confiance du peuple étaient un acquis considérable du Gouvernement en matière de la protection des droits de l’homme. En termes de la démocratie il y a un progrès notable dans le pays. Néanmoins, il persiste encore des problèmes qui nécessitent des solutions.
Comme en informe «Armenpress», c’est ce qui a été déclaré par le ministre de la Justice Artak Zeynalian, pendant la présentation du rapport sur la réalisation du programme du Gouvernement au cours de la séance de la Commission permanente parlementaire de la protection des droits de l’homme et des questions sociales.
«En évoquant les résultats des actions menées par le Gouvernement dans le domaine de la protection des droits de l’homme, je considère que les deux élections: municipales et législatives de l’an dernier étaient un grand acquis car elles étaient libres, équitables, transparentes, avaient la confiance du peuple. Je crois que ces élections étaient la condition préalable du futur progrès du Gouvernement dans le domaine de la protection des droits de l’homme. A la suite de la révolution du mois d’avril, il y a eu un progrès considérable en Arménie dans le domaine de la protection des droits de l’homme et de la démocratie. C’est ce qui prouvent également les appréciations des organisations internationales compétentes.», a dit M. Zeynalian.
Il a cependant fait le constat de l’existence des problèmes qui demandaient des solutions. Selon lui, il fallait déployer des efforts continus pour enregistrer une nouvelle avancée. Il a précisé que dans le but de la réalisation d’ une politique commune de la protection des droits de l’homme, en 2017 le Gouvernement arménien a adopté un plan d’action 2017-2019 à la base de la stratégie nationale de la protection des droits de l’homme. Il est actuellement en cours de réalisation. Un Conseil de coordination a été instauré pour plus de responsabilisation et de garanties de sa réalisation.
Le ministre de la Justice a également souligné que les garanties et la protection des droits de l’homme étaient l’une des priorités d’un Etat démocratique et de droit. Il a fait remarqué que c’était ce qui était établi par la Constitution et par le programme du Gouvernement de l’an dernier.