EREVAN, 13 MARS, ARMENPRESS: Artak Apitonian, directeur exécutif de l'Armenian Future Initiative, voit l'avenir de l'Arménie dans l'unité.

"La coopération entre l'État et le secteur privé, l'exposé des problèmes existants et la vision de l'avenir sont les seuls moyens de créer l'Arménie dont nous avons toujours rêvé, mais pour laquelle, malheureusement, nous n'avons pas fait assez d'efforts. Comme le rapporte "Armenpress", Artak Apitonyan a conclu les discussions sur trois des 15 objectifs de l'initiative "Armenian Future" : "Responsabilité historique", "Unité Arménie-Diaspora" et "Croissance démographique".

Arthur Alaverdyan, cofondateur de l'initiative publique "Armenian Future", a résumé la conférence en soulignant qu'à son avis, elle était très réussie.

"Des discussions très actives et productives ont eu lieu et des résultats très importants ont été enregistrés. En général, l'implication des gens est très importante, c'est exactement ce qui s'est passé pendant ces trois jours, et nous avons été témoins d'une grande force et d'un grand enthousiasme pour faire durer ce processus, et les résultats que nous avons eus doivent être organisés et mis en pratique. En d'autres termes, nous acceptons ces résultats et nous devons essayer de les mettre en œuvre", a souligné M. Alaverdyan.

Cofondateur de l'initiative, l'ancien ministre d'État de l'Artsakh, Ruben Vardanyan, n'a pas pu participer à la conclusion des trois jours de cette initiative publique en raison de problèmes d'accès à l'internet en Artsakh.

Richard Azarnia, un autre cofondateur de l'initiative, a déclaré dans son discours que la conférence était très importante parce qu'il s'agissait du premier dialogue entre l'Arménie et la diaspora en trois ans, ce qui donnera l'occasion d'emprunter une voie commune et de trouver des solutions. Il ne considère même pas qu'il soit important de savoir sur quels sujets ils sont parvenus à un terrain d'entente, ce qui est important c'est qu'il y ait un terrain d'entente. "Le fait que 93,7 % des participants pensent que le problème de l'Artsakh est le problème de 10 millions d'Arméniens est très important et très intéressant. Nous n'atteindrons jamais 100 %, 100 % c'est le système soviétique, mais nous avons réussi à nous comprendre, à nous accepter et à commencer à montrer la voie aux Arméniens", a-t-il déclaré.

Selon lui, l'initiative "Armenian Future" devrait être responsable de la mise en œuvre de ces programmes. Il a exprimé l'espoir que dans six mois ou un an, des mesures concrètes seraient prises.