La France se félicite de la décision d'organiser la COP-17 en Arménie

EREVAN, 8 NOVEMBRE, ARMENPRESS: La France se réjouit que l'Arménie accueillera la prochaine Conférence des Parties (COP17) à la Convention sur la Biodiversité (CBD) en 2026, a déclaré le ministère français des Affaires étrangères.

« La France se réjouit que l'Arménie accueille la prochaine Conférence des Parties (COP17) à la Convention sur la Biodiversité (CBD) en 2026. La France a fortement soutenu cette décision, votée par les Parties à la CDB lors de la COP16 à Calí. La France sera aux côtés de l'Arménie pour faire de cette future COP un succès. Cet événement sera crucial pour la mise en œuvre du Cadre mondial pour la biodiversité Kunming-Montréal ».

Le 31 octobre dernier, lors de la 16ème réunion de la Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique, l'Arménie a été élue pays de la 17ème réunion de la Conférence des Parties à la Convention sur la diversité biologique (COP17).

Cette élection réaffirme la confiance croissante de la communauté internationale à l'égard de l'Arménie en tant que partie prenante importante des processus environnementaux mondiaux. L'Arménie s'est vu confier la mission de consolider et de promouvoir les efforts internationaux déployés dans le cadre de la Convention sur la diversité biologique afin de contribuer à relever les défis environnementaux auxquels l'humanité est actuellement confrontée.

La 17e conférence des parties (COP17) se tiendra à Erevan en 2026.

La Convention des Nations unies sur la diversité biologique est l'une des trois conventions environnementales mondiales, qui régit les efforts de la communauté internationale dans les domaines de la durabilité environnementale, de la conservation de la biodiversité, de la restauration et de l'utilisation durable des ressources naturelles. Les conférences des parties à la convention comptent parmi les plus grands rassemblements environnementaux. Au cours de ces conférences biennales, les États parties travaillent à l'élaboration de mécanismes de mise en œuvre de la convention et prennent de nouveaux engagements à cet égard. La société civile, en particulier les représentants des organisations non gouvernementales, les peuples autochtones, la communauté universitaire, les organisations de femmes, les jeunes et le secteur privé participent activement aux conférences des parties.