EREVAN, LE 20 FÉVRIER, ARMENPRESS: Le président arménien a adressé un message de condoléances à la suite du décès de la figure nationale et de la bienfaitrice Louise Manoukian-Simon.

C’est ce qui a été transmis à  «Armenpress» du Département des Relations publiques de l’administration du Président. Dans le message se dit:

«C’est avec une grande affliction et une grande peine que j’ai apprise la nouvelle du décès de Louise Manoukian-Simon, une digne fille du peuple arménien, une personnalité publique et une bienfaitrice.

C’est une très grande perte pour l’Arménie, l’Artsakh et tous les Arméniens du monde entier car Madame Manoukian-Simon était étroitement liée à tout ce qui était arménien et avait trait à l’Arménie.

Les services qu’elle a rendus à la Patrie, à la Sainte Eglise apostolique arménienne et à tous les Arméniens dans le monde entier en tant qu’une fille digne de ses parents patriotes, du héros national Alex Manoukian et de Mme Marie Manoukian et en tant que Président de l’ Union générale arménienne de Bienfaisance sont exceptionnels par leur grandeur et leur contenu.

Après l’indépendance, l’Arménie et l’Artsakh sont devenus les cibles de ses activités patriotes, auxquels Mme Louise Manoukian-Simon est restée fidèle jusqu’à la fin. En tant que Président de longue date de l’UGAB, membre honorable du Conseil d’administration de la Fondation de tous les Arméniens «Armenia», c’est à elle qu’appartient les initiatives et la réalisation de plusieurs projets et en Arménie , et en Artsakh et dans la Diaspora.

Cette Grande Dame dépasse les limites nationales par sa renommée et l’ampleur des activités qu’elle a menées et représente notre peuple de la meilleure manière au niveau international.

A ce moment grave de la perte nationale, j’exprime mes plus sincères et profondes condoléances à la famille et aux proches de Mme Louise Manoukian-Simon, à son frère Richard Manoukian, à ses trois enfants,  à ses petits enfants, à l’UGAB, au Conseil d’administration et je partage le chagrin de vous tous.

Que soit béni le souvenir des justes.»