Le défenseur des droits de l’homme considère illicite les écoutes téléphoniques du Premier ministre par intérim et du Chef de la Sécurité nationale
15:18, 6 Décembre 2018
EREVAN, LE 6 DECEMBRE, ARMENPRESS: Les écoutes téléphoniques de n’importe quelle conversation implique l’interdiction de l’utilisation de ses renseignements. C’est ce qui a été transmis à «Armenpress» par Nouné Hovsepian, Chef du département des Relations publiques de l’administration du défenseur des droits de l’homme, qui a transmis la position du Défenseur des droits de l’homme concernant la divulgation de la conversation téléphonique entre le Chef de la Sécurité nationale et le Premier ministre par intérim.
«La Constitution de la République d’Arménie garantit le droit à la confidentialité de la communication y compris des conversation téléphoniques . La liberté de la communication et sa confidentialité peut être limitée uniquement en vertu de la loi et dans des buts définis par la Constitution et avec le respect des garanties. Cette garantie s'étendent sur chaque personne et chaque type de conversation téléphonique.